F-LEM6

L’élève continue de participer à l’évaluation en reprenant à partir du point où il s’est arrêté. Si, par exemple, l’élève a été absent le mercredi, quand il revient le jeudi, il commence à faire l’évaluation du jeudi. L’élève ne peut faire que les tâches d’une journée d’évaluation pendant une journée donnée. Il faut qu’il fasse toutes les journées d’évaluation. Les tâches du mercredi seront faites lors de la séance de rattrapage.

Non. Il faut que les élèves participent à l’évaluation dans la salle de classe où ils suivent normalement l’enseignement en français ou en anglais; si cela n’est pas possible, ils peuvent alors faire l’évaluation dans leur salle de classe titulaire. Les gymnases, auditoriums, cafétérias, etc. ne sont pas des locaux appropriés pour l’organisation de l’évaluation. Il faut que l’évaluation soit perçue comme étant simplement une autre partie de la journée d’école ordinaire de l’élève et que l’élève puisse y participer dans un milieu qui lui est familier et où il se sent à l’aise et détendu.

Tous les élèves doivent participer à l’évaluation en même temps. Il faut donc que l’enseignant de français ou d’anglais circule entre les classes participant à l’évaluation pour superviser le déroulement de l’évaluation et répondre aux questions. Cette procédure permettra de garantir la cohérence et l’uniformité du déroulement de l’évaluation dans toutes les classes et dans toutes les écoles.

Non. Il faudra donner à ces élèves autre chose à faire pendant l’évaluation.

Oui. Si le dispositif fait partie des adaptations signalées dans le dossier de l’élève, l’élève a le droit d’utiliser un système de conversion parole-texte pour dicter ses réponses aux questions des évaluations de la Nouvelle-Écosse. On considère que ce type de système est une adaptation acceptable pour le volet d’écriture de l’évaluation. Comme l’évaluation est un formulaire sécurisé, il faut que ce que l’élève a dicté à l’ordinateur soit effacé de l’ordinateur dès qu’on a imprimé la version papier pour l’inclure dans le cahier d’évaluation.

Si on utilise un programme de conversion parole-texte pour le volet d’écriture de l’évaluation, il faut désactiver toutes les fonctions de correction orthographique et grammaticale et de saisie semi-automatique. Comme pour toute adaptation utilisée lors de l’évaluation, il faut que l’utilisation d’un système de conversion parole-texte soit une adaptation déjà établie au premier jour de l’évaluation, qu’elle soit signalée dans le dossier cumulatif de l’élève et qu’on insère une photocopie du document approprié sous la couverture du cahier d’évaluation de l’évaluation avant de renvoyer le cahier au ministère de l’Éducation.

Il convient d’indiquer à la section 2 du dos du cahier d’évaluation le type d’appareil de technologie fonctionnelle utilisé lors de l’évaluation.

Il est interdit d’utiliser une technologie de synthèse vocale comme Kurzweil pour les passages prévus pour la lecture et pour les questions sur la lecture dans les évaluations de la Nouvelle-Écosse (c’est-à-dire pour les textes informatifs, les textes avec supports visuels, pour les textes littéraires en prose et pour les poèmes et chansons). Les enseignants eux-mêmes n’ont pas le droit de lire aux élèves les parties de l’évaluation consacrées à la lecture; il est donc tout naturel d’interdire les technologies qui permettent d’en faire de même. Comme cette partie de l’évaluation évalue les aptitudes en lecture et en visionnement — « lecture » étant entendu ici au sens large de décodage, de compréhension et d’analyse du texte en toute autonomie —, les adaptations qui effectuent le décodage du texte à la place de l’élève compromettent la validité de l’évaluation.

Il est possible, cependant, d’utiliser un logiciel de synthèse vocale dans les parties de l’évaluation consacrées à l’écriture sans compromettre la validité de l’évaluation. On peut utiliser le logiciel de synthèse vocale pour lire les instructions de l’évaluation en écriture, les messages de guidage et les conseils à l’élève, car les parties de l’évaluation consacrées à l’écriture ne portent pas sur les aptitudes en lecture, mais sur les aptitudes en écriture.

NOTE : Si l’on utilise par erreur un logiciel de synthèse vocale lors de la partie de l’évaluation consacrée à la lecture ou si l’enseignant lit par erreur cette partie à l’élève, le rapport d’évaluation de l’élève indiquera « données insuffisantes » pour le volet de lecture.

Les adaptations acceptables sont décrites dans le guide sur la semaine d’évaluation de 2012–2013 et figurent également au dos du cahier d’évaluation des élèves. Les seules évaluations acceptables sont celles qui sont signalées dans le dossier cumulatif de l’élève avant le premier jour de l’évaluation et qui sont les adaptations habituellement en place pour l’élève lors de son travail scolaire ordinaire. Il est interdit cependant d’autoriser des adaptations qui pourraient compromettre la validité de l’évaluation. Il n’est pas acceptable, par exemple, d’utiliser un appareil de technologie fonctionnelle ou une personne pour lire l’évaluation en lecture à haute voix à l’élève, puisque les résultats ne correspondraient alors pas au niveau d’aptitude en lecture de l’élève. Veuillez vous référer au guide sur la semaine d’évaluation de 2012–2013 pour de plus amples renseignements. Il est obligatoire d’insérer des photocopies des documents décrivant les adaptations et portant la signature de l’enseignant et du parent dans le cahier d’évaluation de l’élève avant de le renvoyer au ministère de l’Éducation.

Oui, les élèves ont le droit d’utiliser un dictionnaire, un dictionnaire de synonymes ou une grammaire (non électronique) à tout moment pendant l’évaluation.